Bagnols, Pechs et Bonaval

Adresse : 88 route de Murviel 34500 Béziers

Tél. : 04 67 76 42 71

Email : jean-francois.mossus@orange.fr

Le Comité de quartier Bagnols, Pechs et Bonaval est une association loi de 1901 qui existe depuis plus de 28 ans. Elle est une interface entre les habitants du quartier et les élus de la commune, de la communauté d’agglomération et le département.

Le comité a également pour objectif de faciliter les relations entre les résidents en organisant des manifestations conviviales, des sorties touristiques et toutes activités permettant de mieux se connaître.

Chaque année, notre association se réunit en assemblée générale où chacun peut s’exprimer librement.

Elle est présidée par Madame Laurence ELMALIH assistée par un conseil d’administration composé de Mesdames  DEMOULIN, FERRER, GIORGINI,  SABAH et de Messieurs BABON,  GRAZIANA, HURTEVENT, MENGUAL,  TARAYRE et TOLOMIO. 

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Béziers : la Laiterie prend ses quartiers d’été aux Moulins de Bagnols

Soirée d'ouverture le 25 mai, à partir de 20 h, animée par le groupe Flex Family.

Soirée d’ouverture le 25 mai, à partir de 20 h, animée par le groupe Flex Family (Midi Libre – Antonia Jimenez)

2.5.2023 – La guinguette, en plein montage actuellement, ouvre le 25 mai 2023. 

Effervescence du côté des Moulins de Bagnol, la guinguette de La Laiterie (la seule guinguette de Béziers) est en plein montage. Toujours au bord de l’Orb, dans le jardin promenade de La Plantade, avec, pour toile de fond, le moulin Cordier, inscrit aux Monuments historiques.

Catherine Petit et son équipe, du restaurant la Laiterie (1, rue des Ramiers) prennent donc leurs quartiers d’été, comme chaque année. Le restaurant traditionnel ferme pour ouvrir un peu plus bas, en version guinguette.

À vos agendas : la soirée d’ouverture est programmée le 25 mai, à partir de 20 h. Elle sera animée par le groupe Flex family.

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Béziers : le quartier de Bagnols-Pechs rend hommage à Albert Pinai

Rendez-vous à la maison de quartier.

Rendez-vous à la maison de quartier (Illustration)

11.5.2019 – Figure du quartier, il est décédé brutalement en début d’année.

Pendant près de 30 ans, Albert Pinai a officié en qualité d’unique pharmacien du quartier Bagnols et Pechs à Béziers. Installé dans l’impasse du Pech de la Galinière, toujours serviable, souriant et de bon conseil, il était apprécié de tous.

Il s’en est allé brutalement le 16 janvier dernier. Homme de grand cœur, il était connu pour son engagement dans le domaine humanitaire.

L’aide aux victimes vietnamiennes

Après avoir travaillé avec les pompiers de Béziers, il a œuvré au sein de pharmaciens sans frontières avant de créer Espoir Enfants Vietnam, une association ayant pour objet d’opérer les enfants souffrant de malformations suite au déversement, par les Américains, sur les forêts vietnamiennes, de polluants chimiques et de gaz toxiques lors de la guerre. De vrais miracles ont été réalisés…

Le comité de quartier Bagnols-Pechs et Bonaval et Espoir Enfants Vietnam rendront hommage à Albert Pinai, ce samedi 11 mai à partir de 16 h à la Maison de quartier Vaclav-Havel, rue Jules-Dalou (près du gymnase du Four-à-Chaux).

Au programme à 16 h, une exposition préparée par Espoir Enfants Vietnan, à 17 h une conférence sur l’homme et son œuvre et à 18 h, apéritif dînatoire vietnamien (sur inscription au 04 67 36 73 57. Tarif : 2 €. Places limitées à 100 personnes).

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Béziers : ils volent et démantèlent une barge de chantier

Le chantier de réhabilitation des berges ne devrait pas souffrir de ce vol.

Le chantier de réhabilitation des berges ne devrait pas souffrir de ce vol (Illustration M.L.)

6.3.2014 – Les voleurs sont prêts à tout ! Dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 mars, ils ont dérobé une barge de chantier sur l’Orb, à Béziers. Elle a été retrouvée en partie désossée.

“C’est vraiment désolant…”Raymond Couderc avait du mal à le croire, hier (mercredi 5 mars, ndlr), lorsque ses services l’ont alerté du vol nocturne d’une barge de chantier sur l’Orb.

Depuis une quinzaine de jours, celle-ci était utilisée pour les travaux de nettoyage des berges du fleuve, dans le cadre d’un vaste chantier de réaménagement qui permettra une meilleure hydraulicité en cas de crue tout en offrant de nouveaux chemins de promenade.

Pourtant surveillée par un gardien

Mais les ouvriers ont dû stopper leur œuvre, mercredi matin, lorsqu’ils ont découvert que la barge qui supportait la grue et facilitait le travail de débroussaillage avait été volée dans la nuit. “Elle est chaque soir, stationnée au niveau du moulin de Bagnols. Elle est même surveillée par un gardien”, relate le sénateur-maire de Béziers.

Après des recherches le long de l’Orb, l’embarcation a pourtant été retrouvée à quelques kilomètres de là… au niveau de la station d’épuration. C’est-à-dire qu’elle avait passé le petit barrage et son dénivelé de trois mètres.

Mise en pièces

Surtout, quand l’entreprise chargée des travaux par le syndicat Béziers La Mer a retrouvé la barge, celle-ci avait été démantelée en partie. “Le moteur hydraulique de la grue a été totalement démonté et la grue elle-même en partie désossée. Les voleurs se sont même attaqués au moteur de la barge, mais n’ont visiblement pas eu le temps de finir…”

C’est au niveau du quartier du Bosquet que les malfrats se sont arrêtés pour mener à bien leur opération, avant de laisser l’embarcation dériver toute seule. C’est ainsi qu’elle a passé le barrage et a été retrouvée au niveau de la station d’épuration.

Pas de conséquence sur le chantier

L’entreprise a passé la journée à évaluer les dégâts avant de porter plainte. Heureusement, cela n’aura que peu de conséquence sur le chantier. “On allait passer à la phase accessible depuis les berges. Le gros des travaux est donc toujours prévu pour le mois de mai”, a indiqué Pierre Injalbert, directeur du syndicat Béziers La Mer. Qui se désolait, comme Raymond Couderc, lui aussi d’un tel procédé.

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Maison relais Père Coreau : entre réinsertion et rejet

Une ouverture qui fait polémique dans le quartier.

Une ouverture qui fait polémique dans le quartier. (Photo : Pierre Saliba)

Le projet de Maison relais continue de faire des vagues du côté du Four à Chaux

4.12.2011 – Pourtant, il est porté par Habitat et Humanisme, une associative caritative d’intérêt public. Depuis le début de l’année, diverses rumeurs, plus ou moins fondées, ont circulé dans le quartier. Le permis de construire a même été attaqué devant le tribunal administratif. Un permis rectificatif a été déposé pour changer quelques aménagements. En juillet, une réunion publique a eu lieu, mais apparemment, cela n’a pas suffi à lever toutes les réticences.

La capacité d’accueil maximum sera de 20 personnes

Aujourd’hui, Michel Dumas, vice-président héraultais de d’Habitat et Humanisme, est fatigué de ces querelles mais il reste combatif sur ce projet qui lui tient à cœur. Il a joint une lettre explicative au journal du comité de quartier Bagnols et Pechs. Dans cette dernière, il précise à nouveau que la capacité d’accueil maximum sera de 20 personnes, sous la tutelle d’une professionnelle aidée par une assistante sociale et bien sûr les bénévoles de l’association. “Je crois que la confusion vient du fait que les terrains de la communauté des Timon David ont été vendus en deux parties. Les bénéficiaires nous sont envoyés par les services sociaux.

Le Conseil général nous attribue tant par personne pour faire vivre la Maison relais. Après étude du dossier, nous les acceptons ou non. Nous ne prenons pas de personnes ayant des addictions, nous ne pouvons pas, et nous gardons le pouvoir de faire partir les personnes qui poseraient de trop gros problèmes.” Le bénévole précise également que l’association a fait appel à des fonds publics pour son projet, un prêt locatif aidé d’intégration, et qu’il est obligatoire d’indiquer le nombre d’occupants. Elle s’est engagée pour 20 personnes.

Un nombre que confirme l’architecte du projet Vincent Brosset-Eyquel qui souligne que le plus grand des 17 logements fait 32 m2. Pour lui, le “Total public : 69” qui apparaît dans le rapport du Service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault joint au permis de construire “n’a rien à voir avec la réalité, c’est un calcul administratif et réglementaire ou alors il y a eu une confusion entre le bâtiment de l’accueil et celui des logements.” Tout semble donc conforme au projet. Maintenant, peut-être que le rejet de certains des voisins repose sur l’idée que “le social c’est bien, mais pas à côté de chez moi”.

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Pechs de Béziers : plaidoyer pour la maison relais

Les riverains ont redit leurs craintes aux porteurs du projet.

Les riverains ont redit leurs craintes aux porteurs du projet (Photo Olivier Got)

11.7.2011 – Au Four-à-Chaux, le devenir de l’ancienne maison du Père Coreau et des trois hectares de terrains attenants continue de préoccuper les habitants des quartiers Bagnols et Pechs de Béziers. Principalement, certains riverains se sont inquiétés du projet de création d’une maison relais pour vingt personnes en grandes difficultés, que porte à bout de bras l’association Habitat et Humanisme. Il en avait résulté une dizaine de recours contre le projet.

Expliquer et rassurer ! Tel était le but de la réunion organisée jeudi en fin de journée par les dirigeants de cette association, sous l’égide du comité de quartier. Michel Dumas, vice-président d’H & H pour l’Hérault, et Hubert Quenette, créateur de cinq maisons relais dont une à Nîmes, ont prononcé un plaidoyer, littéralement pro domo.

Les maisons relais fonctionnent dans l’esprit d’une pension de famille à l’ancienne. La différence est que la maîtresse de maison est salariée…

“Il s’agit d’héberger des personnes en déshérence et incapables de vivre en autonomie. Là, on leur réapprend tous les rudiments nécessaires avant toute réinsertion professionnelle. Et on les rééduque à la vie en société.

“Cette étape dure entre six mois et un an, après quoi on se charge de leur trouver des appartements en colocation tout en les accompagnant vers un retour à l’emploi. Chacun est suivi par un bénévole accompagnant. Le but est qu’ils redeviennent autonomes.”

L’image qui, selon H & H, caractérise le mieux la maison relais est celle de “la pension de famille”. “Jadis, un tel logement était dirigé par une maîtresse de maison. La seule différence, c’est que dans nos structures elle est salariée. Elle règle les problèmes divers et s’applique, avec les bénévoles à créer une vraie vie commune…”

Aux questions posées par les habitants du quartier, Michel Dumas et Hubert Quenette ont répondu avec la foi du charbonnier chevillée au corps. Et bon espoir de lever les dernières réticences.

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Source :

https://www.midilibre.fr – 11.5.2019 / L.T. 6.3.2014 / Emmanuelle Boillot 4.12.2011 / Patrick Nappez 11.7.2011

https://comitebagnolsetpechs.jimdofree.com