Béziers

Béziers a été fondée par des Grecs au VIIe siècle avant J.-C. Béziers aurait donc été construite avant Marseille et serait la plus vieille ville de France. Au fil des siècles le territoire Biterrois s’est enrichi d’histoire et de traditions.

C’est au IVe siècle qu’émerge dans les textes un premier nom de la ville, Baisiara ou Baitara, transmis par l’historien grec Théopompe. Un toponyme que reprend au IInd siècle le géographe voyageur Artémidore, qui précise que “le citoyen se dit Baitarites”, Biterrois, et que l’on retrouve sans interruption jusqu’à la fin de l’Antiquité et au-delà.

Terre de transit, d’accueil, de conquête, elle est bien sûr marquée par son histoire. Par sa langue aussi: l’occitan, propagé, sublimé par les troubadours, ces poètes du Sud trousseurs de vers, chantres de l’amour courtois. Béziers Méditerranée s’en veut l’héritière farouche, spontanée et vivante : elle puise son énergie à la croisée des chemins de Provence, de Catalogne et du pays toulousain. 

Saviez-vous que “Le Breviari d’amor”, la plus longue œuvre jamais écrite en occitan (35600 vers) entre 1288 et 1322, est née sous la plume d’un biterrois ? Matfre Ermengaud, moine franciscain devenu troubadour.

Traversée par l’Orb, entourée par la mer Méditerranée et la plaine viticole du Languedoc, Béziers vous séduira. De l’époque romaine avec son amphithéâtre antique et ses arènes, au souvenir des bourgs médiévaux et de la croisade des Albigeois avec sa cathédrale et ses Allées Paul Riquet. Laissez vous charmer par son vignoble, le plus ancien de France.

Ici on joue, on chante, on danse, on déguste, on s’amuse. Mais sous les falbalas d’un joyeux désordre festif se cachent des rites ancestraux, des règles du jeu enracinées, à l’image de la vigne alentour. Ajoutez à cela une proche et bouillonnante parenté avec l’Espagne… et voilà d’où vient l’amour des Biterrois pour la Féria. Dans un chaudron, faites revenir un bon peu de bodegas, de belles tranches de spectacles gratuits et de qualité, saupoudrez de défilés, de cartels dans les arènes, rectifiez l’assaisonnement avec bandas et penas, une touche d’expositions et : olé Béziers !

Depuis l’année 1681, tous les biterrois, en souliers à boucles ou chaussés de baskets, emperruqués ou rasés de près, considèrent le Canal du Midi comme “leur”. Ils vont y courir, marcher, papoter assis sur un banc ; seuls ou en famille… comme d’autres vont au parc. Et tout ça parce que Pierre-Paul Riquet, le créateur dudit Canal était biterrois, bien sûr !

Depuis 1681 ce ruban d’eau, qu’ici on appelle avec tendresse et fierté “nostre canal” (notre canal) irrigue, nourrit, transporte : il est l’artère qui va droit au coeur des Biterrois.

Depuis le Moyen-Âge, Béziers possède un animal totem : ce drôle de chameau en bois et en tissu avec une seule bosse se promène dans les rues pendant les fêtes. D’après la légende, Saint-Aphrodise serait arrivé d’Egypte avec un chameau. A son décès, les responsables municipaux prirent en charge les frais d’entretien de son animal. Il fut nourri et logé par une famille de potiers dans une rue qui prit, à sa mort, le nom de “rue du chameau” aujourd’hui renommée rue Malbec. Cela valut aussi leur surnom aux Biterrois : les Camelous !

Au temps des Grecs déjà, l’économie de la ville était florissante grâce au commerce du vin. Après la crise du phylloxéra au XIXe siècle, peu touchée par la maladie, Béziers devint la capitale du vin. Cela fit la fortune de Béziers à cette époque et la ville devint la plus riche du Languedoc. Cela se ressent encore dans son architecture très florissante à cette période, avec la construction de nombreux hôtels particuliers en ville et de châteaux pinardiers dans les campagnes environnantes.

Source : http://www.beziers-mediterranee.com / http://www.herault-tourisme.com Evelyne Hupin

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Á la découverte du passé romain de Béziers, l’une des plus anciennes cités de Gaule.

Il est possible que le nom de la ville trouve ses racines dans la fondation de la “colonia urbs Julia Septimanorum Baeterrensis”, édifiée vers l’an – 40 par les vétérans de la 7ème légion. C’est peut-être ce qui donna à la région le nom de “septimanie”. Quant à la fondation de la ville, on l’attribue aux grecs, du VIIe siècle avant JC. La situation géographique privilégiée de la ville explique l’importance qu’elle eut très tôt.

De l’esplanade de la cathédrale St.-Nazaire, on peut apercevoir, au Nord les contreforts du Massif Central et au sud les Pyrénées. Entre ces deux massifs, la plaine offre une voie de circulation naturelle vers l’Espagne et l’Aquitaine en passant par Narbonne.

Béziers n’évoque pas au premier chef une ville gréco-romaine antique. Et pourtant, il se pourrait bien que ses origines soient antérieures à celles de Massilia-Marseille (VIIe siècle av. n. è.), ce qui en ferait l’une des plus anciennes cités de la Gaule ; les sept collines qui l’entourent évoquant, bien sûr, celles de Rome.

La conquête romaine de la Narbonnaise, au IIe siècle avant notre ère, laisse une certaine autonomie à la cité gauloise et il faudra attendre 36 av. n. è. pour qu’Auguste y installe les vétérans de la VIIe légion dans la Colonia Urbs Septimanorum Baeterra. La cité a un statut de droit romain et ses habitants sont donc des citoyens romains à part entière. Béziers se dote alors d’imposants monuments romains, dont le visiteur peut encore aujourd’hui voir des traces.

La richesse de la cité venait de sa position stratégique, de ses productions agricoles et potières. Le nombre des villas viticoles en Biterrois, la production céréalière de la villa, située au lieu-dit-des Fangasses, où l’on a retrouvé des vestiges d’un grand moulin hydraulique, disent assez l’importance d’une cité que les crises du IIIe et du IVe siècles n’affecteront guère. Son histoire était contée au Musée du Biterrois (Caserne Saint Jacques, Rampe du 96e régiment d’infanterie).

Le forum se laisse deviner près des halles (place Pierre-Sémard) et de l’hôtel de ville (place Gabriel-Péri). Il a vraisemblablement pris la place de l’agora grecque. C’est d’ailleurs dans une maison proche qu’ont été retrouvées dix têtes en marbre représentant certains empereurs et leurs proches, depuis Auguste jusqu’à Tibère. Ces sculptures ornaient la place publique du forum ou le temple dédié à la famille impériale des Julii.

Une zone de sanctuaires devait borner la cité à l’emplacement de l’actuel jardin du plateau des poètes et des thermes publics pourraient se trouver sous l’avenue Adolphe Mas.

On a identifié avec certitude un théâtre situé sous l’ancien îlot des chaudronniers (La fouille de l’îlot des Chaudronniers à Béziers s’est déroulée entre le 12 mai et le 12 décembre 2014. Elle a mobilisé durant la phase terrain une quinzaine d’archéologues et de spécialistes.) et, non loin, des arènes dans le quartier Saint-Jacques. Dégagées en 1992, elles pouvaient accueillir près de 15 000 spectateurs (entrée au 17, Impasse des Anciennes Arènes). De dimensions imposantes, 110 mètres de long et 90 de large, elles servirent de carrière au Moyen Age.

Peu de gens savent, en effet, que la cité languedocienne recèle un trésor digne de ceux que possèdent, non loin de là, Arles ou Nîmes. Seules les maisons construites en escargot derrière la place Garibaldi, en plein centre ville, ou des noms tels que rue des Anciennes-Arènes ou rue du Cirque conservent la mémoire de ce qui fut, autour du premier siècle après Jésus-Christ, un amphithéâtre romain. Les nouvelles arènes, construites plus loin en briques à la fin du dix-neuvième siècle pour les manifestations lyriques puis tauromachiques, achevèrent d’enterrer le souvenir du Béziers antique.

Les nécropoles étaient, selon la coutume, situées aux portes de la cité. Un aqueduc et des fontaines desservaient de riches demeures urbaines, dont on peut voir encore de beaux décors muraux.

Au pied de la ville coule l’Orb, qui était une voie navigable dans l’Antiquité, et offrait à la ville un débouché vers la Méditerranée.

L’ouverture du Canal de Midi en 1682 va apporter une importance accrue à la cité, en permettant de relier ensemble Toulouse, Carcassonne, Béziers et Sète. L’incidence économique sera démultipliée à partir de 1856 par l’ouverture du canal latéral à la Garonne, qui permet de relier l’Atlantique et la Méditerranée. Depuis les années 1970, le trafic marchand n’a cessé de décliner, et c’est le tourisme fluvial qui permit de sauvegarder le canal latéral de la Garonne, et le canal du Midi.

De loin, on remarque les arènes de Béziers, construites en 1897, sur le modèle des arènes espagnoles. Elles accueillent corridas et spactacles divers, et sont particulièrement mises à l’honneur lors de la Féria qui se déroule au mois d’août.

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Source : http://www.lhistoire.fr 13.7.2023 – http://www.lemonde.fr 6.1.1993 – https://france.jeditoo.com/

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“Notre rôle est de leur pourrir la vie” 

Une nuit avec les hommes de la nouvelle brigade anti-stup de la police municipale de Béziers

Source : Midi Libre – Jean-Pierre Amarger 23/11/2025

  • Les hommes de la brigade anti-stup de la police municipale de Béziers patrouillent dans les quartiers de Béziers.Les hommes de la brigade anti-stup de la police municipale de Béziers patrouillent dans les quartiers de Béziers. (Jean-Pierre Amarger – Midi Libre)

23.11.2025 – Depuis deux mois, les policiers de la brigade anti-stup de la police municipale traquent les points de deal à Béziers. Un journaliste de Midi Libre a passé une large partie de la nuit avec eux. Ces derniers jours, plus de 3 kg de résine et 175 g de cocaïne ont été saisis en une seule prise. Immersion.

Leur mission : lutter contre les trafics. Leurs moyens : harceler les points de deal autant que possible pour que les ventes prennent fin. Voilà l’objectif qui a été assigné aux hommes de la nouvelle brigade anti-stupéfiants de la police municipale (PM) de Béziers.

Ce jeudi soir, 20 novembre, Midi Libre a eu l’opportunité de passer une partie de la nuit avec ces policiers. De Garibaldi au centre-ville, en passant par l’Iranget, la Grangette, les Cormorans et La Devèze, nous avons couru avec les forces de l’ordre pour empêcher les dealers de vendre leurs produits.

Uniquement des volontaires

Dans le fourgon aux fenêtres grillagées, Thomas*, Luc*, Fabien* et Hugues*, d’anciens policiers nationaux, gendarmes ou militaires. “Nous avons été volontaires pour travailler dans cette unité spécialisée, raconte Hugues. Nous sommes là pour lutter contre le trafic de stupéfiants, pas pour faire des enquêtes. Alors nous scrutons les groupes et dès que nous repérons un geste suspect, nous intervenons. Nous sommes très motivés par notre mission, et en plus, on nous donne les moyens matériels de réussir.”

Les policiers n’ont pas le droit de pratiquer le moindre contrôle d’identité sauf si une infraction est constatée. Et à ce petit jeu, les hommes de la PM sont plutôt efficaces. Un geste qui peut sembler anodin et : “Allez, on sort, il a jeté quelque chose.”
Le fourgon s’immobilise et comme un essaim d’abeilles, les policiers sautent sur les contrevenants. En l’occurrence, un groupe de jeunes, mineurs et majeurs. En quelques secondes les minots, impressionnés et bloqués, vont spontanément remettre des sachets de résine aux policiers.

Les jeunes seront conduits au commissariat de police, présentés à un officier de police judiciaire. La mission de la PM va s’arrêter là. Après avoir rédigé les comptes rendus d’interpellation. Et c’est reparti. En arrivant sur Les Cormorans, un dealer est surpris par le véhicule de la police municipale. Il prend la fuite et va se réfugier dans un immeuble. Les policiers sont à ses trousses. Ces derniers ne peuvent entrer dans des lieux privés. Ce n’est que partie remise.

Nous, même un petit sachet, on prend

“Nous allons revenir. C’est rageant de les rater. Nous, même un petit sachet, on prend. On ne veut pas que la drogue circule. Nous devons encore nous perfectionner”, explique Fabien. “Nous travaillons ensemble depuis seulement deux mois. Nous avons une bonne marge de progression. Mais nous avons déjà des résultats.”

Effectivement, il y a quelques jours, la brigade anti-stup a récupéré un peu plus de 170 grammes de cocaïne sur un point de deal ainsi que 3,5 kg de résine. Sans compter les toutes petites saisies. “Notre rôle est de leur pourrir la vie. Et pour ça, nous sommes pas mal. Plus on va les gêner, plus ils vont quitter les points de deal, moins les clients seront servis”, insiste Luc, le visage rieur. Et rigoler, ce n’est pas au programme tous les jours pour ces hommes d’action qui patrouillent chaque jour, en équipe, entre 15 h et minuit.

Dans le fourgon, les coups de cailloux résonnent très fort

Dans le fourgon, les coups de cailloux résonnent très fort. Et des vitres peuvent être brisées. Alors en permanence, dans les quartiers sensibles comme La Devèze, c’est casqués et visières baissées que les policiers circulent.
“Mardi, ils nous ont balancé des pavés depuis les toits, rajoute Hugues. Nous devions écarter des jeunes pour les mettre en sécurité et nous protéger de ces pavés. Ça a été compliqué quand même.”

Ça peut arriver de n’importe où, alors on se surveille et on se protège tous

Et c’est ainsi que jeudi soir, sur la dalle de La Devèze, nombre de personnes ont fui en courant à la seule vue du fourgon et des autres équipages venus en renfort. Pour se déplacer, le groupe de policiers avance en file indienne en scrutant sans cesse les hauteurs. “Ça peut arriver de n’importe où. Alors on surveille et on se protège tous.”

Jeudi soir, si certains publics croisés sont restés respectueux, ça n’a pas été le cas de tous. Rien que pour faire éteindre un feu, dans un bidon, sur le point de deal de la rue Jean-Franco, insultes et incivilités se sont multipliées. Faisant apparaître le sentiment de toute-puissance de certains, convaincus qu’il ne leur arrivera rien, face à des policiers municipaux qui agissent au mieux pour faire cesser les infractions sans se mettre en danger : “C’est qu’un feu (devant le transformateur électrique et sous un arbre, NDLR) on est là tous les soirs, et non on ne l’éteindra pas. Faites chier pour rien.” Voilà pour les passages les plus “soft” auxquels ont fait face les policiers devant des jeunes qui refusent l’autorité sous prétexte qu’ils ne font rien de grave… Pour finir, ce sont les policiers municipaux qui ont vidé de l’eau sur le foyer. Quelques minutes plus tard, le groupe avait de nouveau le chauffage sur son point de vente. Fin de mission pour la journée.

Polémique

Pour rappel, le syndicat de police nationale Un1té Police a exprimé son opposition à la mise en service de cette unité, craignant qu’elle ne perturbe les efforts de la police nationale.

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À lire aussi : “C’est une brigade anti stups, pas une brigade des stups” : la création d’une brigade spécialisée au sein de la police municipale fait polémique

À lire aussi : “Nous allons gêner les trafics par notre présence” : une brigade “anti-stup” mise en place par la police municipale de Béziers

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Biterrois : dire “non” aux violences subies par les femmes

Le 25 novembre est la date choisie par les Nations Unies pour dénoncer les violences perpétrées quotidiennement à l’encontre des femmes. L’Hérault et le Biterrois ne sont malheureusement pas épargnés par ce fléau. Et il ne se passe pas une semaine sans que le tribunal de Béziers ait à juger une affaire de ce genre. Femme battue, jeune fille agressée sexuellement… Tout y passe. La violence n’est pas seulement physique. Elle peut être morale. Ce qui ajoute de nouveaux éléments à la longue liste de délits auxquels doit faire face la justice.

Cela va du pervers qui filme des femmes sous la douche, au monsieur bien sous tous rapports qui agresse sa petite fille, sans compter sur ce mari éconduit qui prend un marteau et frappe son épouse car elle veut divorcer, comme ce fut le cas il y a quelques semaines à Cazouls-les-Béziers. La victime, dans le cas présent, risque de ne plus jamais marcher de sa vie.

Ou encore, comme p.ex. dans les hauts cantons, un homme, alcoolisé, s’en est pris à sa compagne pour la frapper à cause d’un mot de travers. Les exemples seraient quasi quotidiens si l’on voulait être exhaustif.

Quels sont les 3 types de violence ? La violence physique. la violence verbale (y compris le discours de haine ) et la violence psychologique.

Quel est le profil des hommes qui battent leur femme ? Le premier profil est un sujet immature, dans la normalité, où la domination masculine est présente. Le second profil concerne une grande part des auteurs de violence. Ce sont des sujets ego centrés présentant de multiples problématiques (difficultés à exprimer leurs émotions, difficulté d’autocritique ….).

Quel est le syndrome de la personne qui aime son agresseur ? Syndrome de Stockholm. Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique étrange qui peut se produire entre une victime et son bourreau. Certains otages ou victimes peuvent développer pendant leur captivité une certaine empathie, voire sympathie, à l’égard de leur geôlier.

Quelle est la différence entre la violence et l’agression ? Bien que la violence et l’agressivité soient souvent des attitudes liées, elles comportent des différences. Une personne agressive va menacer l’autre, faire preuve d’hostilité. La violence est une atteinte à l’intégrité des individus. Elle a pour objectif de détruire l’autre, de le dominer, de lui faire du mal.

Quelle est la différence entre agression sexuelle et atteinte sexuelle ? Cela étant, l’atteinte sexuelle implique nécessairement un contact physique, à connotation sexuelle, avec la victime (attouchements, caresses, baisers…). Un viol est ainsi une agression sexuelle, dont la spécificité réside dans l’existence d’une pénétration sexuelle.

Source : www.epsilonmelia.com

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Mais comment trouver une solution aux violences quand les services d’ordre de Cazouls-Lès-Béziers et Béziers et la magistrature de Béziers témoignent d’une institution hypocrite. Lorsque les plaintes sont refusées pour des manquements et des infractions pénales à l’égard de leurs propres services.

Lorsque de nombreuses situations discriminatoires peuvent être constaté pendant des années en ce qui concerne les services municipaux et les services d’ordre. Comme le vol de l’argent et d’autres irrégularités financières de mon compte concernant la Banque Postale à Cazouls-Lès-Béziers. Avec Béatrice Villalba et sa compagne Véronique comme responsables, faisant parti de “La clique du maire Philippe Vidal”. Oui, c’est bien la corruption.

Il est clair que la politique hypocrite locale elle-même pose le danger et doit être tenue responsable en ce qui concerne la violence croissante. Un manque d’intelligence et un manque de maturité, lié à une attitude hypocrite, ne fait que provoquer le danger. La mauvaise politique. C’est bien évident. Où le con protège le con. Triste Cazouls-Lès-Béziers. Triste justice. La honte vous êtes étrange! Des “adultes” avec la mentalité d’un enfant de 10 ans. Scandaleux.

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La logique moderne – Le monde à l’envers

Avec un nombre total de 59661 crimes et délits en 2024 pour une population de 1217331 habitants, le département de l’Hérault présente un risque par habitant d’être victime d’un crime ou d’un délit de 49,01 pour mille, soit 0,490 %. Le Ratio nombre d’habitants, nombre de crimes et délits le classe au 5e rang des départements les plus dangereux de France en 2024, classement stable sur un an.

Les forces de Police et de Gendarmerie de Béziers ont enregistré 5247 crimes et délits en 2024 contre 5104 en 2023. Béziers se trouve sur une 3ième place dans le “Classement 2025 des villes de l’Hérault avec le plus d’insécurité”.

Les sujets de préoccupation en matière de délinquance pour 2025 sont :

N°1 : Vols d’accessoires sur véhicules

En hausse de 66,36 % sur une année à Béziers.

N°2 : Violences sexuelles

En hausse de 29,23 % sur une année à Béziers.

N°3 : Escroqueries

En hausse de 24,06 % sur une année à Béziers.

N°4 : Trafic de stupéfiants

En hausse de 22,12 % sur une année à Béziers.

N°5 : Cambriolages de logement

En hausse de 10,93 % sur une année à Béziers.

N°6 : Vols violents sans arme

En hausse de 10,00 % sur une année à Béziers.

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Avec tout le respect, mais nous devons réaliser qu’avec plus de possibilités technologiques et de savoir-faire, malheureusement moins de résultats sont obtenus. Il est évident qu’un changement de mentalité peut aider à diminuer les crimes. Il est crucial de prendre en compte l’importance d’éducation et de formation. Comme Victor Hugo disait : “Qui ouvre une école, ferme une prison!”.

Pour parvenir à une fin positive, il est aviser d’avoir une éducation adaptée aux qualités de l’individu, dans un environnement motivant et de bénéficier du soutien financier nécessaire pour compléter les études ou la formation. Pour ensuite fournir le soutien nécessaire dans la recherche d’un emploi approprié ou éventuellement une formation ou des études supplémentaires.

Source :

http://www.lamarseillaise.fr – Louis Dupin 28.7.2025

https://ville-data.com

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Photos : Ville de Béziers (Fb)

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Quartier de La Devèze

Envie de tout savoir sur le quartier de La Devèze à Béziers ? Ce coin de la ville est souvent pointé du doigt pour ses trafics et sa délinquance. Malgré sa proximité avec le centre historique, les habitants évitent ce quartier sensible. La sécurité y est un enjeu majeur pour les résidents qui enchaînent les mauvais avis. Êtes-vous prêt à explorer les raisons de sa réputation ? 

Voyons ensemble les défis quotidiens à La Devèze à Béziers. Le réseau de bus beeMob reste l’unique solution pour vos déplacements. L’application NéMO facilite l’accès aux horaires. L’opération « place nette » de 2024 a brièvement apaisé les tensions liées aux trafics. Cependant, la desserte reste limitée par rapport aux besoins des 7 916 résidents recensés en 2016. Une mobilité à revoir pour améliorer le cadre de vie.

Quels sont les risques à La Devèze à Béziers ? Les dégradations de biens publics inquiètent : 80 000€ de dégâts après la destruction de mâts de vidéosurveillance. Les dealers tentent parfois d’accéder au centre social. En 2024, 5 247 délits ont été comptabilisés en ville. Pensez à vérifier les horaires de passage de police municipale pour vos sorties. La sécurité reste un chantier prioritaire pour les autorités locales.

Source : http://www.apad69.fr – 2024

Hérault – Quartier ZUP l’ex cité moderne HLM la Devèze à Béziers, créée par arrêté ministériel du 30 novembre 1963. Située à 4km à l’est du centre-ville de Béziers sur un territoire de 142 hectares, la Devèze est installée sur une petite colline au cœur d’un ancien domaine viticole non loin du château de la Devèze. Le projet comprend 470 logements. L’architecte s’ appelle Jean Balladur, diplômé des Beaux-Arts en 1953.

Très impliqué au sein de l’Ordre des Architectes, enseigne l’architecture à l’École nationale des Ponts et Chaussées pendant 20 ans. Il est choisi comme architecte-en-chef du projet. Le 15 mai 1965, le plan de masse imaginé par Jean Balladur est approuvé. Ainsi l’aménagement du quartier se poursuite en deux étapes : de 1965 à 1970, puis de 1971 à 1977. La construction de La Devèze, le premier chantier de la Sebli à Béziers comporte de nombreux équipements (école, mairie annexe, centre commercial.. .). Jean Balladur reste à la tête du projet jusqu’en 1967.

À la suite du changement de maire, l’architecte est destitué et le plan de masse fait l’objet de changements radicaux. Le projet de grand ensemble est abandonné se transformant en une multitude de petits projets. Le quartier se développe rapidement transformant un espace rural en une extension de la ville. Depuis 1986, de nombreuses actions de la politique de la Ville se succèdent.

La Société d’économie mixte d’équipement du Biterrois et son littoral est omniprésente, incontournable. Elle aménage la ville de Béziers et son Agglo depuis les années 1960. Lorsque l’on parle d’aménagements sur la ville de Béziers, et même depuis le début des années 2000 sur le territoire de l’agglomération Béziers-Méditerranée, difficile de passer à côté de la Sebli. La Société d’économie mixte d’équipement du Biterrois et son littoral est omniprésente. Aussi bien en centre-ville que dans les Zac (Zones d’aménagement concertées) qui fleurissent un peu partout.

Source : instagram – memoiredecite

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Béziers, une ville dynamique au fort potentiel touristique de par son climat, la proximité des plages et la richesse de son patrimoine. La renommée de Béziers s’est faite à travers la viticulture.

Au premier janvier 2025, la cité de Riquet compte 80815 habitants. Une belle embellie pour la commune qui dépasse sa population de 1968, c.a.d. 80481 âmes, après être tombée de 69153 habitants en 1999.

Après l’apogée en 1975, un brutal déclin.

Bien après la Seconde Guerre mondiale, l’heure d’un certain déclin sonne pour Béziers. D’abord à travers la chute des prix du vin, puis par la crise des industries classiques. Le nord de la ville accueille la construction des ensembles de La Devèze, L’Iranget et La Dullague.

En 1968, la population de Béziers était à un peu plus de 80000 habitants. Elle allait encore grimper jusqu’à 84000 habitants en 1975. Puis à partir du recensement de 1975 et jusqu’en 1990, la population décline et passe de 84000 à 70000 habitants.

Dans les détails, en 1982, la cité de Riquet compte environ 76500 habitants. En 1990, moins de 71000. Et en 1999, moins de 70000. Dans les années 2000, les chiffres se stabilisent puis commencent à augmenter de nouveau jusqu’à aujourd’hui.

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Situé dans le quartier de la Gare de la ville de Béziers et installé sur d’anciennes friches de la SNCF, le Polygone avec son concept atypique de centre commercial sur trois étages proposant des boutiques, des restaurants, un complexe cinéma, un bowling ainsi que des zones de bureaux et des appartements a bouleversé le centre-ville. 

Le Polygone est fin prêt à accueillir les clients des soldes estivales (juin 2015, image personnelle)

“ Comme un vaisseau sur les flots, ouvert sur la nature et étroitement lié au cœur de la ville, le bâtiment que nous avons conçu pour Béziers est un lieu d’évasion où loisirs et shopping riment avec plaisir. ”

C’est ainsi que l’architecte catalan Jos Ignacio GALAN définit son projet de centre commercial à ciel ouvert, inspiré par le cours du Canal du Midi qui passe tout près. Contrairement à d’autres galeries commerciales de la région, la lumière naturelle entre généreusement et apporte un peu de chaleur et de convivialité à l’ensemble.  

Quelques instantanés des décorations de Noel 2014 (décembre 2014, images personnelles)

Comment s’y rendre

Situé au niveau du Carrefour de l’Hours, en périphérie du centre-ville, à 5 minutes à pied de la gare SNCF de Béziers, le centre commercial Polygone est idéalement installé. Grâce au potentiel touristique des stations balnéaires de la côte, Il attire une clientèle nombreuse en haute comme en basse saison. 

Source : https://mon-blog-de-voyage.over-blog

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Béziers

Magnifique reflet d’un monde d’autrefois,

Possédant un renom étrange toutefois,

La ville de Béziers garde encore la trace

De ce qui constitue un souvenir vivace

De ses petites rues, reflet d’un autre temps,

Où le peuple vivait heureux à tout moment.

Le passé de Béziers est une longue histoire

Alternant tour à tour la tristesse et la gloire.

Autrefois quand pour Rome elle était Betarra,

je suis sûr que demain on s’en réjouira.

Les empereurs romains admettaient à leur table,

Notre vin dont le goût était inimitable.

Au milieu des Allées, on jette des regard,

Sur Pierre Paul Riquet subissant les égards.

Dus à son grand talant évidence,

Un sentiment d’estime et de reconnaissance.

Le canal du Midi reste un ouvrage d’art,

Et pour le reconnaitre il n’est jamais trop tard.

Mais surtout Béziers rende un vibrant hommage,

Un sculpteur Injalbert nous laisse un message.

En créant l’homme fort qui se nomme Titan,

Pourtant la mappemonde et défiant le temps.

Comme dans le passé, ayons toujours en tête,

Son goût pour le plaisir, et son goût pour la fête.

Ô Béziers,

Sous le ciel bleu couvrant ta belle cathédrale,

Poursuis sur les allées ta marche triomphale.

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Source : http://www.rebour.over-blog.fr 11.11.2010 – Georges Calmette

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Béziers, ville ardente, de soleil et de poussière… la plus ancienne ville de France, qui sans cesse se réinvente. On y avance comme dans un livre sans fin, chaque pierre ouvre une page, chaque ombre une mémoire. Les Allées, les arènes, le Pont Vieux, les fêtes, … sont des seuils vers d’autres temps.

Jean-Marc Blancherie Cathalifaud cherche, dans le réalisme magique, l’âme profonde de la ville où ses grands-parents, jadis, l’accueillirent.

L’âme de Béziers, c’est une tension. Une ville ardente, traversée par l’histoire, marquée par la tragédie des croisades mais aussi par la fierté de la vigne, la force populaire des ferias, le souffle du rugby. Une ville de soleil et de poussière, de contrastes violents, où la mémoire brûle toujours au présent. Béziers, c’est l’âme d’une cité méditerranéenne, excessive et flamboyante, qui n’oublie jamais ses blessures mais les transforme en ferveur, en mythe, en survivance. Une ville qui se réinvente sans cesse, parce qu’elle sait que ses racines plongent très loin, dans la nuit des temps.

(Source : https://editionsdudesir.fr/)

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Les victimes de violences sexuelles dans les transports en commun selon le type de violence :

  • 76 % sont des victimes de harcèlement sexuel ou d’exhibition sexuelle
  • 24 % sont des victimes de viols, tentatives de viols ou agressions sexuelles

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En 2024, quatre tonnes de produits stupéfiants ont été saisies dans l’Hérault, du jamais vu dans le département. Les autorités n’hésitent plus à frapper les trafiquants au portefeuille : argent liquide, voitures, maisons. 14 millions d’euros ont été confisqués, soit plus du double par rapport à 2023. (https://programmetv.ouest-france.fr – 2025)

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Tout commence avec éducation et discipline, Mr. Ménard. Quand les responsables de la justice, des services d’ordre, des services municipaux, des écoles, … renoncent à leurs responsabilités (avec de nombreuses preuves), qu’est-ce que vous reprocherez aux enfants lorsqu’ils sont constamment confrontés à une politique locale hypocrite?

Abîmer ma voiture, couper mes pneus, refuser des plaintes, augmenter illégalement les factures (Comme avec Pascal Lesbre), faire abstraction de toutes les preuves par le pouvoir judiciaire à Béziers, … le système Philippe Vidal (Maire de Cazouls-Lès-Béziers), le système d’élite (sans intelligence). Est-ce que vous avez le droit de me tuer aussi? Avec un pouvoir qui ne respecte pas ni droit ni loi, tout est permettez. Oui, je sais. Vous avez toujours des excuses. Comme avec la mort de Pascal lesbre et la protection des responsables, dont vous et les services d’ordre font parti. Ne t’inquiète pas. Votre implication dans de nombreuses situations suspectes est vraiment remarquable. Et il est impossible de le nier.

Je constate, Philippe Vidal, que votre influence s’étend sur tout ce qui peut affecter le citoyen. Vous donnez l’impression que vous êtes au-dessus de tout et de tous. Cela me semble plutôt une dictature cachée qu’une république. Ce qui montre bien les services d’ordre, en menacant le citoyen. Refuser plusieurs plaintes par les gendarmes à Cazouls-Lès-Béziers … c’est bien illégal. Où est le respect pour le droit et la loi? On parle des gens qui défendent droit et loi????? Hahahahahahahaha. Cela diminue complètement la fiabilité du pouvoir local. Aussi, utiliser de la violence envers le citoyen, comme avec Aper Rudy, pour après l’obliger à signer plusieurs procès-verbaux (pour camoufler le comportement illégal des gendarmes suite aux plusieurs refus de rédiger un procès-verbal contre membres de la mairie de Cazouls-Lès-Béziers, eux déjà impliqué dans la mort de Pascal Lesbre !!!!), démontrant une fois de plus à quel point le pouvoir local est corrompu, dont toi, Philippe Vidal, est bien le responsable principal. Vous êtes une honte pour la France. Enlevez vos masques, hypocrites.

Vous créez le danger Philippe Vidal. Avec vos amis de la magistrature à Béziers, les services d’ordre (hypocrites, cfr la mort de Pascal Lesbre) de Cazouls-Lès-Béziers, le plupart des salariè(e)s complètement pas fiable de la municipalité de Cazouls-Lès-Béziers, etc.

En plus, puis-je vous demander de me rembourser les montants des taxes volées et d’ajuster les taxes à la situation réelle Philippe Vidal? Oui, on appelle ça le socialisme. Vue les situations, c’est plutôt le communisme ou la dictature. N’est-ce pas Philippe Vidal? Même situation comme avec … Pascal Lesbre.

Taxes foncières : 15.10.2019 :148€   –   15.10.2020 : 545€ ???

Taxe d’habitation : 16.12.2019 : 131€   –   15.7.2020 : 324€ ???

  • Aucun document qui vérifie en détail la décision prise par le Centre des Impôts-Béziers/la mairie de Cazouls-Lès-Béziers
  • Déclarations avec des mensonges par le Centre des impôts de Béziers et la femme responsable de l’urbanisme à la mairie de Cazouls-Lès-Béziers
  • Les travaux prévus n’ont pas été réalisés. Les autorités compétentes ont été informées. C’est bien “La clique de Philippe Vidal” qui provoquent les irrégularités?
  • Les mensonges et fausses déclarations par Mr Hougue Grégory, Mr Julien Capmal et Mr. Bessièrre (Centre Finances Béziers) dans les déclarations concernant ma maison. Je cherche encore ma terrasse. Et ma chauffage? Clairement des actes de discrimination, guidé par un maire hypocrite Philippe Vidal. 

N’oubliez-pas Mr. Ménard :

Il est essentiel de tuer un problème dans l’œuf. Tout commence par éducation et la discipline. Et le savoir-faire de l’individu. Si plusieurs situations révèlent une attitude de favoritisme, qui montre une inadéquation et une attitude hypocrite de la politique locale, à laquelle aucune crédibilité ne peut être accordée, où cela finira-t-il ? La situation ressemble plutôt à un passe-temps préféré sans considérer la cause. Combien d’années encore Mr. Ménard ?

Avec une attitude hypocrite comme chez les services d’ordre de Cazouls-Lès-Béziers, sous l’autorité d’un maire hypocrite Philippe Vidal, il est évident que les problèmes ne seront jamais résolus. C’est là que les incertitudes surgissent concernant la motivation à la recherche d’une solution adéquate. D’autre part, la colère est alimentée par un manque de connaissances et des actions illégales de la part des autorités locales. Dans un environnement où l’hypocrisie, qui caractérise le pouvoir local, est un atout.

Où les gendarmes à Cazouls-Lès-Béziers, qui refusent de dresser plusieurs PV et autres irrégularités (discrimination, insultes, vol, …). Illégal et punissable !!! Rédiger de faux procès-verbaux (au moins 3) sous menace des gendarmes, refuser toutes les preuves par le pouvoir judiciaire à Béziers, cad la juge, Mme Hauss Chloé, assistée de Mme Dachary Manon (greffière) et Mme Hamiti Marie (substitut placé). Ou dresser un “Main Courante” (refuser de dresser un PV) dd. 4.6.2021 à 14.25h, sans mentionner le nom du gendarme qui a dressé le document. Où je dois constater qu’il n’est pas possible de porter plainte pour arnaque! Oui, la honte vous êtes étrange!

Comme jeudi le 4 janvier 2024, de refuser à nouveau ma plainte pour intimidations depuis plus de 5 ans par Salvador Ribera, Christophe Castillo, “Tutu” et plusieurs membres de la mairie de Cazouls-Lès-Béziers. Pascal Lesbre, qui a été retrouvé mort chez lui dans sa maison à l’entrée du cimetière de Cazouls-Lès-Béziers, rue de l’Egalité, après plusieurs mois (années?) de harcèlement et d’injures par entre autres … oui, Mr. Ribera Salvador, Christophe Castillo, “Tutu” et plusieurs membres de la mairie de Cazouls-Lès-Béziers sous la protection de … oui, Mr. Philippe Vidal. Tiens, tiens, tiens, … .

Pour vous confirmer. Les gendarmes de Cazouls-Lès-Béziers m’ont refusé de sortir du bureau de l’office par plusieurs gendarmes de gendre homme et femme, pour après m’obliger à signer 3 documents sur l’ordinateur donc je n’étais pas capable à voir le texte sur l’écran de l’ordinateur. Les 3 documents ont été superposés et il me semble que l’écran a été agrandi. Seules les cases de signature étaient visibles. Ceci après plusieurs refus des gendarmes pour dresser un procès-verbal contre plusieurs membres à la mairie comme monsieur jaloux Salvador Ribera, Christophe Castillo, … concernant la mort de Pascal Lesbre.

Surtout, avec un favoritisme entre Mr. Vidal Philippe et “les magistrats” de Béziers, avec de multiples actes illégaux à la mairie de Cazouls-Lès-Béziers. P. ex. le refus des preuves irréfutables! contre le maire Mr Philippe Vidal et plusieurs ouvriers comme Salvador Ribéra, Christophe Castillo, “Tutu”, … concernant la mort de Pascal Lesbre!. Avec des déclarations incorrectes de membres travaillant pour la municipalité et des personnes faisant partie de la “Clique de Vidal”, qui rendent l’illégalité légale. Entre autres avec des accords qui sont conclus à l’avance sur ce qu’il faut dire.

En plus, en s’accordant l’accès à un lieu privé sans m’avertir préalablement, et donc sans autorisation, le maire et ses adhérents (la “Clique de Vidal”) se placent clairement au-dessus de la loi et du droit et témoignent, à nouveau, d’une attitude incorrecte qui ignore droit et loi. Comme les services d’ordre? (hypocrites), les employé(e)s? (voleuses) de “La Banque Postale, les employé(e)s et ouvriers (-ères) (hypocrites) de la mairie de Cazouls-Lès-Béziers, etc. démontrent constamment.

Où la Banque Postale à Cazouls-Lès-Béziers, avec les employées Béatrice Villalba et sa compagne Véronique, responsable de nombreuses transactions financières illégales (vol) à mon désavantage. Pour enfin, sur une manière illégale, annuler mon adhésion suite à leur comportement corrompu. Ce qui ne peut pas être expliqué de manière logique.

Ou rendre les factures 400% plus chères et donc illégales (Taxes foncières : 2019 : 148€ –> 2020 : 545€??? – Taxes d’habitation : 16.12.2019 : 131€ –> 15.7.2020 : 324€ ???), facturer des frais supplémentaires d’un endroit qui n’a pas changé de forme et où les travaux prévus n’ont pas été réalisés. Chaque fois, les autorités compétentes ont été informées. Aucune excuse n’est acceptable.

Il est évident que le pouvoir local représente un danger pour la sécurité car complètement pas de respect pour propre droit et loi. Avec une manipulation des situations et des faux témoignages. Une mentalité qui caractérise la majorité de la population locale. Au moins parmi ceux que j’ai eu la possibilité de rencontrer.

Ou la justice de Béziers. Un pouvoir judiciaire incapable et hypocrite à Béziers, cad juge Mme Hauss Chloé, assistée de Mme Dachary Manon (greffière) et Mme Hamiti Marie (substitut placé).

Comment résoudre le problème lorsque les services locaux eux-mêmes témoignent d’une attitude corrompue et pas fiable ?

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11.2.2014 : Cité La Biterroise à Béziers : “Maintenant, pour faire partir un rat, on tire un coup de fusil”

Chérie, je vais me promener avec le chien …

Photographie prise au coeur de la cité La Biterroise : pour faire partir un rat… un coup de fusil en pleine résidence ! D. R.

11.2.2014 : Ce quartier de Béziers est devenu invivable. Divers trafics, squatteurs… et même des coups de feu en plein jour pour chasser les rats. Les riverains de la cité La Biterroise sont à bout !

“Nous ne sommes plus tranquilles. Depuis que des squatters ont envahi certains bâtiments, c’est pire que jamais. La Biterroise, c’est un marché à ciel ouvert”, pleurent des habitants réunis dans un collectif au bord de l’explosion. Qui poursuivent, dans une démonstration éloquente : “Vous voulez de la drogue, des vêtements de marque pas chers, des appareils d’électroménager ? Rendez-vous tous les jours au cul des camionnettes, ici, à La Biterroise.”

Cette cité est une résidence privée, autrefois occupée par des fonctionnaires de l’enseignement, de la police ou des agents de la SNCF du temps où ses ateliers tournaient à plein régime. Un petit coin de tranquillité selon les anciens du quartier.

La mixité sociale n’a pas fonctionné

Mais en quelques années, alors que l’on promettait du côté des investisseurs que le quartier de l’Hours allait devenir un endroit prisé dans Béziers, tout a dérapé. La faute à qui, à quoi ? Sans doute à une mixité sociale qui n’a pas su fonctionner. Car, pour les quelques propriétaires qui vivent encore à La Biterroise, la vie est devenue un enfer.

Les services de la médiation de la ville interviennent, ceux du Département aussi. Mais rien n’y fait. Pire, depuis l’arrivée des expulsés du camp de Roms de Bayssan, qui ont envahi des maisons vides, il semble, selon certains riverains, que la situation s’est encore plus dégradée.

Des coups de feu pour chasser les rats

“Maintenant, pour faire partir un rat, on tire un coup de fusil en pleine résidence. On tire aussi sur les façades. Cette cité est devenue un garage à ciel ouvert où les trafics sont légions et les disputes, pour ne pas dire les bagarres, quotidiennes. Cette Biterroise, oui, c’est un espace de non-droit dans Béziers”, insistent ces habitants au bord des larmes.

Un petit tour dans les cages d’escaliers de la cité en dit long. Saleté, excréments, odeurs nauséabondes, accueil des plus rétifs… Bref, celui qui n’habite pas là, n’est pas le bienvenu.

Ventes quasi impossibles

Excédés, quelques propriétaires entendent vendre leur bien : “Mais quand les clients viennent, ils partent en courant. Mettre de l’argent ici, ce n’est pas envisageable pour quelqu’un qui veut vivre en toute quiétude.” En 2016, la cité judiciaire de Béziers sera la voisine de La Biterroise. Le nouveau palais de justice aurait alors sous le nez une véritable cour des miracles.

En attendant la cité judiciaire en 2016

Les riverains comptent beaucoup sur cette installation pour que leur quartier retrouve un peu de calme et ne soit plus la proie des trafics : “Mais attendre encore deux ans que tout soit construit, nous n’en sommes plus capables. On nous menace chez nous. Personne ne semble prêter attention à nos alertes. On préfère laisser La Biterroise à la merci de certaines bandes.”

Source : http://www.midilibre.fr Jean-Pierre Amarger 11.02.2014

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Un enfant adopte une attitude liée à son environnement direct. Bien sûr, de nombreux parents sont également responsables, où le manque d’intelligence et d’action responsable entrave un enfant dans son éducation et son développement.

Les droits de l’homme : 1) Nous sommes tous nés libres et égaux. 2) Ne pas discriminer... 12) Vous avez le droit à la protection de votre vie privée et de votre réputation. 13) Vous avez le droit d’aller où vous voulez, au pays et à l’étranger. Etc.

Les droits de l’homme sont le fondement de la liberté, de la justice et de la paix.  Les droits de l’homme sont le devoir de tous : gouvernement, individu ou société. Le mépris des droits de l’homme a conduit à des actes barbares. 

Ce qui se passe à Cazouls-Lès-Béziers, c’est bien une honte pour la France. Les droits de l’homme sont des normes qui reconnaissent et protègent la dignité de tous les êtres humains. Ils régissent la façon dont nous vivons en société et les uns avec les autres, ainsi que la relation qui lie les individus aux gouvernements et les obligations des gouvernements envers eux. La DUDH définit 30 droits et libertés inhérents à tous les humains et dont personne ne peut les priver. 

Je vous invite de visiter Cazouls-Lès-Béziers, où les gendarmes refusent de rédiger des plaintes, où un pouvoir hypocrite local sous la “direction”?? de Philippe Vidal, qui essaie de camoufler son incompétence avec une équipe où le plupart des représentants ne sont pas capable et ne respectent ni loi ni droit, et où les droits de l’homme ne sont pas du tout respectés.

Rédiger de faux procès-verbaux (au moins 3) sous menace des gendarmes, refuser toutes les preuves par le pouvoir judiciaire à Béziers, cad la juge, Mme Hauss Chloé, assistée de Mme Dachary Manon (greffière) et Mme Hamiti Marie (substitut placé). Ou dresser un “Main Courante” (refuser de dresser un PV) dd. 4.6.2021 à 14.25h, sans mentionner le nom du gendarme qui a dressé le document. Où je dois constater qu’il n’est pas possible de porter plainte pour arnaque! Oui, la honte vous êtes étrange!

Comme jeudi le 4 janvier 2024, de refuser à nouveau ma plainte pour intimidations depuis plus de 5 ans par Salvador Ribera, Christophe Castillo, … . Pascal Lesbre, qui a été retrouvé mort chez lui dans sa maison à l’entrée du cimetière de Cazouls-Lès-Béziers, rue de l’Egalité, après plusieurs mois (années?) de harcèlement et d’injures par entre autres … oui, Mr. Ribera Salvador sous la protection de … oui, Mr. Philippe Vidal. Tiens, tiens, tiens, … .

Pour vous confirmer. Les gendarmes de Cazouls-Lès-Béziers m’ont refusé de sortir du bureau de l’office par plusieurs gendarmes de gendre homme et femme, pour après m’obliger à signer 3 documents sur l’ordinateur donc je n’étais pas capable à voir le texte sur l’écran de l’ordinateur. Les 3 documents ont été superposés et il me semble que l’écran a été agrandi. Seules les cases de signature étaient visibles. Ceci après plusieurs refus des gendarmes pour dresser un procès-verbal contre plusieurs membres à la mairie comme monsieur jaloux Salvador Ribera, Christophe Castillo, … concernant la mort de Pascal Lesbre.

Oui, même la justice de Béziers où je dois constater que la juge, Mme Hauss Chloé, assistée de Mme Dachary Manon (greffière) et Mme Hamiti Marie (substitut placé), ne respectent pas ma défense, où ils ont rejeté toute preuve contre Mr. Salvador Ribera. Il n’est pas possible être jugé pour utiliser de la violence car je n’ai jamais utiliser de la violence dans ma vie. J’ai le droit de me protecter et surtout … je souffre d’un triple hernia dans la nuque et autres lésions corporelles, ce qui m’évite toute acte de violence. Avec valeur probante des documents médicaux. C’est tout simplement de la corruption dans tous les domaines du pouvoir locale.

On peut parler d’un favoritisme entre Mr. Vidal Philippe et les magistrats de Béziers car il n’est pas possible d’ignorer un classeur avec des documents qui font preuve des irrégularités concernant le fonctionnement de la municipalité, des services d’ordre, etc. Toute la valeur probante a été remise au tribunal compétent, mais n’a jamais été examinée car le dossier contient trop de documents qui n’ont jamais été consultés dans le court laps de temps dont le dossier était en possession des juges. Ce qui est illégal car ma défense n’est pas respectée, ce qui rend les juges incompétents et inadaptés. Y aurait-il eu d’autres facteurs qui auraient joué un rôle?

Déclarations incorrectes concernant plusieurs procès-verbaux par des amies, amies des amies ou de collègues liées au travail, etc. L’hypocrisie est remarquablement intégrée dans le pouvoir local. Ensuite, rendre les factures 400% plus chères et donc illégales (Taxes foncières : 2019 : 148€ –> 2020 : 545€??? – Taxes d’habitation : 16.12.2019 : 131€ –> 15.7.2020 : 324€ ???), facturer des frais supplémentaires… une même situation de discrimination par le maire et la mairie comme avec Pascal Lesbre. Il est évident que le pouvoir local représente un danger pour la sécurité car complètement pas de respect pour propre droit et loi.

Abîmer ma voiture, couper mes pneus, refuser des plaintes, faire abstraction de toutes les preuves par le pouvoir judiciaire à Béziers, … le système Vidal, le système d’élite (sans intelligence). Est-ce que vous avez le droit de me tuer aussi? Avec un pouvoir qui ne respecte pas ni droit ni loi, tout est permettez. Oui, je sais. Vous avez toujours des excuses. Comme … Pascal lesbre. Ne t’inquiète pas. Rira bien qui rira le dernier. Votre implication dans de nombreuses situations suspectes est vraiment remarquable. Et il est impossible de le nier.

Je dois accepter les mensonges de Mr. Fabrice Permal, Mr Bessiere Philippe et Mr Capmal du Centre des Finances Publique à Béziers, comme : ” … qu’est-ce qu’il en est de la terrasse constatée par le géomètre du cadastre le 8/06/2018 (vue aérienne)”? Pour constater qu’il n’y a pas de terrasse!!! J’ai mal à comprendre la logique de pensée quand Mr Capmal me reproche de ne pas rappeler sur des appels masqués???? Comment rappeler sur une “appel masqué”? Donc pourquoi s’agacer dans son mail dd. 23.4.2021 de lui-même? Incroyable mais vrais. Ils cachent leur attitude hypocrite derrière une accumulation de mensonges. Après 7 années à Cazouls-Lès-Béziers, je comprends toute la corruption et l’hypocrisie dans la région. Quelle mentalité pourrie ! La clique de Vidal, la prison est prête à vous accueillir.

Ou le permis. La perte de six points sur mon permis français, reçu le 16.1.2021, pour une infraction dd. 15.8.2019??? Philippe Vidal, il n’est pas possible de condamner quelqu’un sur des droits acquis le 8.1.2021, concernant une infraction dd. 16.8.2019 dont sur des droits qu’il ne possède pas au moment de l’infraction (Dont j’ai aussi mes doutes). J’avais le droit de conduire une voiture dès le 16.12.2019 et j’ai reçu le permis … le 16.1.2021. Un an et un mois en retard??? Oui, Philippe Vidal. Le droit et la loi!

Ou la Banque Postale, avec les employées Béatrice Villalba et sa compagne Véronique. Des retraits irresponsables = vol par les membres de “La Banque Postale”, c.a.d. de Béatrice Villalba et sa compagne Véronique. La gendarmerie refuse de rédiger un PV. Philippe Vidal a été informé à plusieurs reprises dès le début, mais il me semble diriger le jeu.

Vendredi le 18.6.2021, le refus d’accepter le document par la collègue de Mme Villalba (Elle-même cacher dans son bureau, et elle refuse de quitter son bureau!), pour rembourser les montants “volés”. Ce qui montre bien, une énième fois, les attitudes lâches et donc inacceptables des “employées” de “La Banque Postale”. Même le reproche de Mme Villalba Béatrice que j’avais utilisé de la violence, ce qui est un mensonge pour laquelle je peux déposer une plainte. Mais pas à Cazouls-Lès-Béziers car les gendarmes refusent les plaintes.

Le 21.11.2017, j’ai reçu une facture de 122.99€ pour des choses et des services dont je ne disposait pas!! Ensuite, une facture de 146.09€??? J’étais obligé à prendre deux cartes bancaires??? Avec vol de l’argent de mon compte, avec un contrat de 8 euro par mois pour téléphoner et que dès le début, j’ ai constaté des prélèvements de 59.89€ (3.1.2018), 34.51€ (9.1.2018), 25€ (18.12.2017), après sans ou presque pas téléphoner. Même une facture de presque 100€, avec un contrat de 8€ par mois??? Ou le 21.5.2021, par me rembourser le vol de mon compte de 43.00€ (Prélèvement de SFR). Donc bien la preuve que “La Banque Postale” vole mon argent de mon compte. J’attends toujours les remboursements des prélèvements “volés”.

Maintenant, je sais, c’est bien la clique de Philippe Vidal. Protéger des voleuses comme Béatrice Villalba et sa compagne Véronique de “La Banque Postale”, dans un système de corruption protéger par “un pouvoir incapable”??? Le maire ferait bien de rembourser l’argent volé depuis 2018. Sur la route vers Strassbourg, les droits de l’homme, la honte ne fera qu’augmenter pour la clique de Philippe Vidal.

Les situations avec Mme Kaddour (email 3.10.2020) et Mme Patricia Fayos (email 3.10.2020) montre bien un système de corruption dont toutes les preuves datées sont disponibles. Ou avec Laure Galby, avec des données incorrectes concernant une sollicitation. La plupart des gens que j’ai croisés ici à Cazouls-Lès-Béziers ont un comportement dégoûtant. Pardonnez-moi pour ceux qui ne sont pas concernés par cette déclaration. En tout cas, j’ai l’impression que suite aux comportement de plusieurs Cazouliens, je préfère parler d’Albigeois que de Cazoulien. Je n’ai jamais été confronté à une mentalité si peu élevée. C’est inédit.

La rue Jean Jaurès, qui était le théâtre de comportements d’intimidation de la part des membres de la municipalité envers Mr. Pascal Lesbre et envers moi-même, à plusieurs reprises, par entre autres Mr. Salvador Ribera, Christophe Castillo, etc. Situations qui démontrent clairement la discrimination suite d’un manque d’intelligence et le respect. Et une jalousie immense. Donc une situation qui provoque le danger pour la société. Surtout quand il n’y a plus de confiance dans le pouvoir local et les services s’ordre.

Il y a le refus de me laisser participer à une formation pour agent immobilier, assurée par l’organisme “La Solution Formation”. Tous les renseignements ont été immédiatement communiqués tel que demandé. Donc on me demande de participer à une formation, je m’inscris pour après constater … je ne suis pas sur la liste?????

Sur ma réclamation de 27.2.2020, Mme Moraly de Pole Emploi Courondelle a essayer de me contacter le 29.2.2020 entre 15.00h et 16.45h. Car j’étais en formation SST (Sauvetage Secourisme du Travail), j’ai essayé de la rappeler mais … comment rappeler quelqu’un le plus vite possible sur un appel masqué, sans mentionner le numéro de contact dans les messages? Après, elle a déclaré d’être déçue par ma non-réponse, mais dans aucune de ses appels masqués Mme Moraly a mentionné ses coordonnées???? Qui peut encore comprendre cette attitude? Ce scénario ne devrait pas se produire.

La mort de Pascal Lesbre, c’est tout à fait la même situation. Tout le monde est bien à l’hauteur, en France et en Belgique, avec des documents et emails comme preuve. Oui, c’est bien la corruption, une attitude qui typique la région. N’est-ce pas Philippe Vidal? Le pouvoir, c’est bien une maladie.

Après une suspension de 4 mois, après une contrôle qui a enlevé toute fiabilité concernant les forces de l’ordre et une nouvelle confirmation de l’hypocrisie en ce qui concerne les services du pouvoir locaux. (En plus, le 16 août 2019 jusqu’à le 16 décembre 2019 – j’ai reçu du CERT EPE de Nantes la confirmation de conduire avec mon permis étranger. Donc j’ai le droit de conduire une voiture depuis le 16 décembre 2019 et j’ai reçu mon permis … le 16.01.2021. Un an et 1 mois en retard. Même après contacter Mme Castelvi (défenseur des droits) le 16 février 2020 pour obtenir mon permis de conduire. Avec le résultat que j’ai reçu le permis …  le 16.01.2021!!! Incroyable. Merci Philippe Vidal. C’est bien la clique du Philippe Vidal.

Il n’est pas possible de condamner quelqu’un sur des droits qu’il ne possède pas au moment de l’infraction. La perte de 6 points sur mon permis francais reçu … le  16.01.2021 pour une infraction dd. … 15.08.2019 avec un permis étranger? C’est bien le théâtre des gens incapables.

Le pouvoir local créez le danger pour eux-mêmes. Clairement lié à un manque d’intelligence (incompétent?) et donc une gestion irresponsable.

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Une statue monumentale de Trencavel dévoilée sur le plan des Albigeois à Béziers

La statue de Trencavel mesure 3,50 mètres de haut. (Mélissa Alcoléa – Midi Libre)

19.7.2024 – La Ville de Béziers a fait fondre cette statue en Italie en hommage à cette figure historique de la cité.

Une statue monumentale de Raimond Roger Trencavel (1185-1209) a été dévoilée, ce vendredi 19 juillet, sur le plan des Albigeois, au pied de la cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, devant habitants et touristes venus assister à la fête. Ses mensurations sont impressionnantes : 3,50 mètres de haut (sans compter le piédestal), 800 kg. Elle a été fondue en bronze à Pietrasanta en Italie, où est également née la reproduction de lion de Magrou installée sur la place Charles-de-Gaulle il y a un an environ. Et comme cet œuvre, elle est le fruit d’une collaboration entre la Ville de Béziers et le sculpteur Philippe Guilhem, joaillier à Megève, et dont la famille possède la bijouterie de la rue du 4-Septembre. Sa sœur, Magali Guilhem, était d’ailleurs présente ce vendredi soir : “C’est une fierté”, déclarait-elle. “Mon frère a son cœur ici.” C’est pourquoi il a répondu à l’appel d’offres lancé par la municipalité.

Le maire Robert Ménard a prononcé un discours avant le dévoilement de la statue. (Mélissa Alcoléa – Midi Libre)

“Nous honorons cette tolérance d’hier et d’aujourd’hui”

Au micro, le maire Robert Ménard a quant à lui rappelé l’histoire de Trencaval mais aussi son symbole : “Nous ne pouvons pas oublier ce que nous avons été. Notre cité a été marquée au fer rouge par la folie des hommes et c’est pour cela qu’elle n’aimera jamais les tyrans. Aujourd’hui, Trencavel se dresse au milieu de nous. Nous reprenons le fil de l’histoire. Et saluons cette atmosphère particulière qui règne en cette terre de Béziers, nous honorons cette tolérance d’hier et d’aujourd’hui, comme en témoignent les liens profonds tissés avec notre communauté juive. Vous êtes les héritiers d’une épopée exceptionnelle.” Et d’achever sur “la fierté de cet ancêtre commun.”

Trencavel, symbole de la résistance et de la tolérance

Trencavel fut un symbole de la résistance du Languedoc à la croisade menée par le roi de France et le pape en 1209. Il a gouverné Béziers avec une tolérance rare au Moyen Âge, associant les Juifs au gouvernement de la cité et décidant de protéger la minorité “albigeoise” (cathare) menacée par l’Église. Pour eux, Béziers fut un refuge, les Biterrois refusent de livrer les Cathares aux troupes de la croisade au début du siège de 1209. Mais la cité est mise à sac le 21 juillet 1209, les habitants sont massacrés, un grand nombre brûlés vifs à la Madeleine et à la cathédrale qui sont incendiées. Trencavel tenta de mener la révolte du Sud mais fut capturé et mourut dans des conditions infâmes dans la forteresse de Carcassonne.

(Source : http://www.midilibre.fr – Mélissa Alcoléa 19.7.2024)

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Étape 16 : Gruissan – Nîmes

Le mardi 16 juillet 2024, pour la seizième étape du Tour de France entre Gruissan et Nîmes (187 km), le peloton, en traversant l’Hérault de Lespignan jusqu’à Galargues, visite de nombreuses communes du département et surtout notre belle ville de Béziers (coureurs ca. 13.45h – Caravane ca. 12.00h).

Après une journée de repos à Narbonne le 15 juillet, la 16e étape conduira les coureurs de Gruissan (Aude) à Nîmes (Gard) via le Pic Saint-Loup pour une dernière journée en région Occitanie le mardi 16 juillet. La station balnéaire audoise attendait le passage du Tour de France depuis des années. Gruissan avait déjà été ville étape de la Route d’Occitanie en 2023 et du Tour d’Espagne en 2017, mais jamais de la Grande Boucle.

(Source : http://www.francebleu.fr 12.6.2024)

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Béziers, ville du département de l’Hérault, se situe sur les rives de l’Orb qui s’écoule depuis les monts de l’Escandorgue jusqu’à la mer Méditerranée, à Valras-Plage, de 145 km de long. La ville aurait été fondée par les Grecs au 7ème siècle avant J-C. Ce qui veut dire que la doyenne des villes françaises est bel et bien Béziers.

“Biterris”, le nom de la ville, sig­nifi­ant “les maisons du gué”, atteste de la présence celte.

Le centre de Béziers vous séduira avec ses ruelles traditionnelles, reflétant le style romain de l’époque, mais également avec sa culture riche et variée. Les fouilles archéologiques en 1985 sur la place de la Madeleine et en 2002 sur le bord du théâtre et de la rue de la République, ont révélé un trésor archéologique. Sous la ville actuelle, des rues pleines de villas grecques et de céramiques ioniennes. Au moins confirmation de l’origine grecque de Béziers. La fondation est déjà datée avant celle de Marseille, la voisine phocéenne.

Cependant, pas de traces du port grec sur l’Orb ni d’une nécropole, site sine qua non des cités grecques. Ultime mystère, la ville s’est subitement vidée entre –300 ans et –200 ans dans un contexte général de dépeuplement du Languedoc. Aucune réponse n’a aujourd’hui été apportée à ce drame démographique. Il paraît néanmoins plausible qu’une famine ou une épidémie ait ravagé la région maudissant Béziers d’où la désertion du site.

La ville renaîtra néanmoins, occupée à nouveau par des peuplades gauloises, puis rapidement colonisée par les romains venus de la nouvelle cité de Narbonne. 

Son emblème, le chameau, est lié à une légende qui débute en Égypte autour de la Sainte Famille. Un prêtre nommé Aphrodise serait venu porter la bonne parole de Jésus en Gaule et aurai ramené avec lui un chameau. L’animal aurait été gardé ensuite par les habitants de la ville, même après la mort du Saint. Et évidemment il aurait fait également quelques miracles. Cela valut aussi leur surnom aux biterrois : les camelous !

Située sur un promontoire dominant l’Orb et le canal du Midi, la ville se trouve au pied du Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc, à 50 kilomètres des montagnes du Haut-Languedoc, c.a.d. les monts du Caroux (1090 mètres d’altitude), de l’Espinouse (1124 mètres) et de Lacaune (1267 mètres), dernier contrefort du Massif Central. À seulement une vingtaine de minutes (12 km) de la Méditerranée et prés d’une quarantaine de minutes de Sète (55km) et un peu plus de Montpellier (70km).

Plus de la moitié du territoire de Béziers est composée d’espaces verts, de zones naturelles protégées et de zones agricoles dédiées à la vigne. De 1870 jusqu’à la 1ère Guerre Mondiale, les vins du biterrois ont connu leur âge d’or. Alors, profitez d’une balade autour de Béziers et découvrez diverses appellations viticoles.

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Gravissez les marches jusqu’à l’acropole pour embrasser une vue panoramique sur Béziers et ses environs. La position stratégique de la cathédrale surplombant l’ancien centre-ville, révèle l’importance historique et spirituelle de ce lieu emblématique.

Le vignoble du Languedoc est le plus ancien de France, car les premières traces de vignes dans la région remontent à la présence des Etrusques. C’est vraiment un aspect très important de ce territoire qui possède un riche passé œnologique et où le métier de vigneron est très présent et ce depuis fort longtemps.

En effet, au temps des grecs déjà, l’économie de la ville était florissante grâce au commerce du vin. Après la crise du phylloxéra au XIXème siècle, Béziers devint la capitale du vin car elle fut une des rares villes de France à être en partie épargnée par la maladie et dès 1863 elle fournira donc du vin à toute la France. C’est aussi la raison pour laquelle la plupart des vignes du Languedoc ne sont pas greffées sur des pieds de vignes américains, comme c’est le cas pour la majorité du vignoble français, et ce encore de nos jours.

Cela fit la fortune de Béziers à cette époque et la ville devint la plus riche du Languedoc à ce moment-là. Cela se ressent encore dans son architecture très florissante à cette période avec la construction de nombreux hôtels particuliers en ville et de châteaux pinardiers dans les campagnes environnantes.

Les fouilles archéologiques menées en 1985 sur la Place de la Madeleine et plus récemment en 2002 aux abords du Théâtre et de la Rue de la République mènent à des conclusions effarantes. Sous la ville actuelle, un véritable trésor archéologique, d’immenses rues bordées de villas grecques et des céramiques ioniennes. L’origine grecque de Béziers ne fait alors plus aucun doute et sa fondation est datée avant celle de sa voisine phocéenne (Marseille).

La fouille de l’îlot des Chaudronniers à Béziers s’est déroulée entre le 12 mai et le 12 décembre 2014. Elle a mobilisé durant la phase terrain une quinzaine d’archéologues et de spécialistes. Le chantier intervient dans le cadre du plan PNRQAD (Plan National de Revalorisation des Quartiers Anciens Dégradés), sous la maîtrise d’ouvrage de la SEBLi (Société d’Équipement de Béziers et son Littoral). Le projet d’aménagement prévoyait la destruction complète d’un îlot vétuste du centre historique.

Les vestiges mis au jour sur le site de Chaudronniers démontrent une occupation continue depuis le premier âge du Fer jusqu’à nos jours. Un découpage chronologique en 11 phases a pu être effectué, les vestiges observés durant la fouille appartenant principalement aux huit premières phases : les phases 1 à 4 concernent la Protohistoire ; les phases 5 à 7 couvrent l’Antiquité du Haut-Empire au VIIe siècle ; les phases 8 à 11 s’étendent depuis le XIe siècle jusqu’à la période actuelle.

Béziers est fondée quelques années avant Marseille, elle s’inscrit dans un réseau commercial hellène particulièrement bien pensé, rayonnant entre Massalia (Marseille) puis Nikaia (Nice) et Emporion (Ampurias en Espagne), Béziers est un comptoir commercial prospère. Il semble même que l’on battait monnaie à Béziers comme en témoigne les pièces retrouvées par les archéologues portant la mention : Betaratis, génitif grec de Betara ancien nom de Béziers. Notons également en 2015, la découverte d’un théâtre antique à l’emplacement de l’îlot des Chaudronniers, témoignage de l’importance antique de la cité car la présence d’un théâtre antique en Languedoc est une découverte tant exceptionnelle que rarissime.

Cependant, nous n’avons toujours pas retrouvé de traces du port grec sur l’Orb ni d’une nécropole, site sine qua non des cités grecques. Ultime mystère, la ville s’est subitement vidée entre – 300 ans et – 200 ans dans un contexte général de dépeuplement du Languedoc. Aucune réponse n’a aujourd’hui été apportée à ce drame démographique. Il paraît néanmoins plausible qu’une famine ou une épidémie ait ravagé la région maudissant Béziers d’où la désertion du site.

La ville renaîtra néanmoins, occupée à nouveau par des peuplades gauloises puis rapidement colonisée par les romains venus de la nouvelle cité de Narbonne.

(Samuel TOURON – Patrimoine & Terroirs et tagué BézierschroniqueDaniela Ugolinifouilles archéologiquesgrecMarseille)

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Au début du XXe siècle, la municipalité est contactée pour racheter la demeure afin de sauver le petit commerce.

Nous sommes en 1908. Sur le haut des allées Paul-Riquet, un attroupement s’est formé à la hauteur des numéros 9 et 11. Les Biterrois regardent avec tristesse et consternation la destruction de la Villa Saint-Pierre. Construite par l’architecte Carlier, également appelée Villa des Fleurs ou Château Bellaud, du nom de ses propriétaires, elle va céder la place aux Magasins Modernes, ancêtres des Galeries Lafayette. L’événement fait grand bruit. Le journal quotidien L’Éclair, comme le soulignent Jean-Denis Bergasse et Philippe Marassé, dans leur ouvrage De la place de la Victoire à la gare, par les allées Paul-Riquet et la place de la Citadelle, relate l’ambiance du moment : “Cette superbe demeure, bien comprise dans la silhouette mouvementée, ses imbrications, ses colonnades et ses tympans, dans lesquels brillaient les mosaïques vénitiennes sur fond d’or, qui faisait l’admiration des Biterrois et des nombreux étrangers visitant notre ville, n’est plus qu’un monceau de ruines.” L’édifice n’aura eu, finalement, qu’une courte existence. Selon M. M. Bergasse et Marassé, Mathilde Dessalles avait hérité de l’enclos de l’ancienne poste aux chevaux et du Café des Fleurs sis au 9 et 11 des Allées. Après son mariage avec Roger Bellaud en 1881, il est décidé de construire la Villa Saint-Pierre sur ce terrain.

La municipalité a racheté les murs

En 1904, leur fille Claire Bellaud-Dessalles épouse Joseph Hüe. Hélas, les temps ne sont plus au grand faste, et les deux auteurs notent : “Le ménage s’élança dans la vie en pleine crise de la mévente du vin et donc, à l’heure de choix pénibles. Comme souvent dans l’histoire, l’hôtel en ville jugé futile fut immolé de préférence à la terre nourricière où pouvait se replier la famille. Mme Bellaud-Dessalles et le ménage Hüe allèrent alors habiter l’hôtel, 1 bis rue Tourventouse, chez leurs cousins Fayet-d’Andoque, puis ils regagnèrent l’hôtel Bellaud au n° 42 des Allées.” En attendant, la Villa Saint-Pierre est détruite au grand dam de L’Éclair qui dévoile une semaine plus tard : “La municipalité Suchon avait été contactée pour acheter la maison Bellaud. Cet achat aurait en même temps évité la ruine de petits commerçants…” Autre temps, autre contexte. Aujourd’hui, la municipalité a racheté les murs des Galeries Lafayette pour éviter que “n’importe quoi se fasse sur les Allées”. Elle dénonce le départ de l’Enseigne qui, selon les commerçants, représente une locomotive pour le centre-ville. Il est bien loin le temps du faste des Allées, le temps où les Biterrois s’indignaient de la démolition de luxueuses villas.

(Source : https://www.midilibre.fr/ Emmanuelle Boillot 7.4.2015)

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12.4.2018 – Les fouilles archéologiques de Saint-Jacques confirment l’ancienneté. Le phénomène urbain est né à Béziers entre -640 et -625.

Selon Elian Gomez, docteur en archéologie, chercheur et responsable du service Archéologique de la Ville, de récentes découvertes et les études de fouilles antérieures permettent d’affirmer que Béziers est la ville la plus ancienne de France.

“Jusqu’à ce que l’on découvre mieux mais, à mon avis, il y a peu de chances. Le phénomène urbain à ces périodes-là est totalement étranger aux civilisations celtiques de l’Europe de l’Ouest et il nous arrive par les colonisateurs grecs, étrusques, phéniciens… En Gaule, jusqu’à preuve du contraire, à cette époque-là, il n’y a que deux colonies grecques, c’est Béziers (-625, -630, -640) et Marseille (-600, -598). Ensuite, d’autres viendront.” Un fait que certains Biterrois prenaient déjà pour acquis. L’archéologue corrobore : “On a du nouveau, mais qui ne fait que confirmer ce que nous présentions déjà”.

Peintre de la Gorgone

Lors de la démolition de l’église Saint-Félix, à la fin du XIXe siècle, pour construire les halles de la place Pierre-Sémard, des personnes de la Société archéologique, notamment Caylet, avaient collecté des fragments attiques très importants, attribués au Peintre de la Gorgone. “Ce qui est un cas unique en Gaule. Il n’y en a même pas à Marseille. Ils remontent au premier quart du VIe siècle avant J. – C.”

Elian Gomez poursuit : “Au milieu des années 80 à la Madeleine, il n’y avait que des couches qui remontaient à la fin du VIe, début Ve, avant J.-C. À l’époque, les archéologues Daniela Ugolini et Christian Olive avaient émis l’hypothèse qu’il y avait des couches très anciennes datant du début du VIe siècle avant J.-C. Ils se basaient sur les découvertes aléatoires qui avaient été faites pendant les travaux des halles. Il y avait donc un petit écho de choses anciennes qui traînaient.”

Il y a deux ans, l’archéologue biterrois et Daniela Ugolini ont repris l’étude du sondage de 45 m2 effectué aux halles en 1985, lors de travaux dans les sous-sols. “Nous nous sommes aperçus qu’il y avait des niveaux archaïques assez importants. Outre la typo-chronologie que nous apporte la céramique pour la datation de ces couches-là, on avait lancé la C14 et on a eu des retours tout à fait concluants et concordant avec l’étude céramologique. Il y a deux ans, également, avec les fouilles des Chaudronniers, nous avions des structures et des matériels assez conséquents qui remontaient autour de 600 avant J.-C. Mais, malheureusement, nous n’avons pas pu caler si on était un peu avant 600 ou juste autour de 600. Le C14 n’a pas été non plus concluant et n’a pas apporté de fourchette plus resserrée.”

Fossé protohistorique

En revanche, avec le chantier de Saint-Jacques, les chercheurs ont découvert beaucoup de matières qui ont confirmé leurs suspicions. En 2015, la destruction de l’îlot de la Tible se termine. Un diagnostic est mené par le service Archéologique de la Ville. La découverte d’un fossé protohistorique a motivé l’ouverture de fouilles préventives en collaboration avec l’Inrap.

Le décapage mécanique a permis d’enlever 3 000 tonnes de gravats pour faire apparaître sur l’ensemble de la zone de 2 500 m², les premières couches archéologiques et 200 structures. En premier, par ordre chronologique du plus ancien au plus récent, les archéologues ont découvert deux fossés protohistoriques défensifs, une citerne de modèle grec, de l’artisanat potier et métallurgique de l’Âge du Fer.

Nécropole romaine

Ensuite, le site a été abandonné au IIIe siècle avant J.-C. Et au second, il y a eu une réoccupation des lieux par les Volques Tectosages. Elle consiste en des aménagements en terrasses et des fosses de plantation de vignes. Dans l’une d’elle, il y avait cinq vases qui contenaient des restes alimentaires, de boissons et des plats.

Une nécropole antique a également été mise au jour. Elle débute vraisemblablement autour de l’An 0, au changement d’ère, et se poursuit jusqu’au VIe siècle. Il y avait, notamment, un bustum, une tombe à incinération primaire, pour un adolescent romain, certainement un fils de notable à la vue des nombreuses offrandes, une soixantaine de balsamaires. Entre le XIe et la fin du XVIe début du XVIIe, cette parcellaire a servi d’aire d’ensilage qui comptait 150 silos. Un atelier de potier sera installé par la suite.

(Source : https://www.midilibre.fr – Emmanuelle Boillot 12.4.2018)

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1446 naissances à l’hôpital et 1246 à la clinique Champeau en 2023

Aurore, premier bébé de l’année 2024 à la clinique Champeau à Béziers.

Concernant le bilan de l’année : l’hôpital a accueilli, en 2023, 1446 bébés contre 1509 en 2022. Un chiffre en légère baisse donc. À la clinique Champeau, 1246 accouchements ont eu lieu en 2023. Un chiffre également en baisse. À mettre en perspective avec les tendances nationales qui font état d’une diminution de la natalité.

Aurore est née à 8 h 07, elle est le premier bébé de l’année à la clinique Chapeau, à Béziers. Aurore est le premier enfant de Lucie et Simon, arrivée exactement dans les temps puisqu’elle était prévue pour ce 1er janvier 2024.

Source : www.midilibre.fr – 1.1.2024 Mélissa Alcoléa

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Aucune porte d’entrée d’habitation ne donne sur la rue de la Perle ! (D.R.)

La rue de la Perle à Béziers est sûrement la plus petite rue de la ville. D’ailleurs, on ne la trouve sur aucun plan … . Même Google Maps qui arrive à la localiser n’a pas trouvé suffisamment de place pour inscrire son nom sur ses cartes.

La rue de la Perle n’est longue que d’une poignée de mètres et relie la place Garibaldi à la rue du Coq. Autre spécificité de l’endroit : aucune porte d’entrée d’habitation ne donne sur cette rue !

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Béziers est une ville historique avec un patrimoine remarquable, si bien qu’il se pourrait qu’elle soit même La plus vieille ville de France! La ville doit sa renommée à son histoire et ses traditions. Béziers et la viticulture demeure indissociable. De 1870 jusqu’à la 1ère Guerre Mondiale, les vins du biterrois ont connu leur âge d’or ce qui va considérablement créer des richesses. La ville va jusqu’à s’autoproclamer capitale mondiale du vin. Cette richesse peut aujourd’hui se lire dans l’architecture de la ville, avec des immeubles d’une grande beauté, mais aussi au milieu des vignes où vous pourrez rencontrer de prestigieux châteaux. (www.sitesdexception.fr)

Créé au 13ème siècle, le Pont Vieux est classé aux monuments historiques depuis 1963. Malgré ses arches inégales, il fut jusqu’au milieu du 19ème siècle le seul passage possible au-dessus de l’Orb, sur le chemin de la Provence à Toulouse. Piéton depuis peu, en traversant le Pont vieux pour atteindre l’autre berge vous aurez une vue imprenable sur la Cathédrale Saint-Nazaire, située juste au-dessus.

La cathédrale de Saint-Nazaire est l’un des emblèmes de la ville. Située dans la ville antique, près des remparts romains et médiévaux, ce monument religieux ne passe pas inaperçu, c’est le moins qu’on puisse dire !

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Construite sur les ruines d’une ancienne église, détruite au 13ème siècle lorsque les Cathares s’emparèrent de la ville, l’édifice est de style gothique méridional. Les moyens financiers de l’époque n’étant pas suffisants, la reconstruction n’a pas pu aboutir, et le cloître de la cathédrale n’a jamais été achevé depuis le 15ème siècle. Grâce à une dérogation, nous avons put monter sur le toit de la Cathédrale et admirer une vue à 360° de la ville et de la plaine de l’Orb. Un moment exceptionnel en compagnie de Jean Lauze, Président de l’Association des Amis de Saint-Aphrodise.

Comme la plupart des villes de méditerannée, Béziers bénéficie d’un climat plutôt agréable toute l’année. La meilleure période étant de Mai à Octobre pour profiter de l’automne et admirer les vignes changer de couleur. Habituellement, autour du 15 août, se déroulent les fameuses ferias de Béziers. Étant originaire du Midi et ayant grandi dans les traditions des ferias, c’est sans nul doute une des périodes les plus vivantes de l’année. J’apporte cependant une nuance, je parle bien des ferias qui sont des célébrations autour des chevaux et des taureaux de Camargue, et non des Coridas qui se déroulent dans les arènes et se terminent par la mise à mort de l’animal.

Béziers est une des plus vieilles communes de France. À ce titre, elle possède une histoire particulièrement riche. Par exemple, vous traverserez une des rues par lesquelles Hannibal à traversé la ville avec ses éléphants ! Le planning des visites guidées de l’Office de Tourisme est disponible juste ici sur leur site internet. Je ne peux que vous recommander de visiter cette belle ville avec quelqu’un qui en connaît l’histoire sur le bout des doigts, que ce soit l’Office du Touriste ou les Greeters. Une des particularités de la ville ce sont ses fresques en trompe l’oeil. À travers elles, vous découvrirez l’histoire de la ville et de ses illustres personnages comme Jean Moulin ou ses épisodes les plus marquants comme la révolte des vignerons. (https://manonsuenepradier.fr)

Impossible de venir à Béziers sans découvrir cet impressionnant ouvrage que sont les écluses de Fonséranes. Cet escalier d’eau est l’ouvrage majeur du Canal du Midi. Construit de 1676 à 1680, l’Octuple est un cadeau de Pierre-Paul Riquet à sa ville natale Béziers. Appelés également “l’escalier de Neptune”, les écluses étaient une véritable innovation technique pour l’époque.

Seconde ville du département de l’Hérault, Béziers est une ville de 78 453 habitants au fort potentiel touristique de par son climat, la proximité du littoral languedocien et la richesse de son patrimoine bâti, urbain et environnemental. Elle bénéficie d’une situation géographique exceptionnelle entre mer et montagne. Ville étendue (9576 ha) et ville d’histoire, Béziers dispose d’un des plus grands sites patrimoniaux remarquables (SPR) de France.

Le 18 décembre 2019 Franck Riester, ministre de la Culture, a décidé sur proposition du Conseil national des Villes et Pays d’art et d’histoire, réuni le 4 décembre 2019, d’attribuer le label “Ville d’art et d’histoire” à Béziers.

Avant de devenir, vers 36 av. J.-C., l’importante et notoire colonie romaine, les premières traces d’occupation du site de Béziers sont attestées sur les rives fertiles du fleuve et à l’emplacement d’un oppidum protohistorique où, dès 625 av. J.-C.,la ville s’est structurée avec l’arrivée des Grecs.

Durant le Haut Moyen Age, la ville a bénéficié d’un nouvel essor grâce à la culture occitane mais, connue pour sa tolérance envers les minorités, elle a été incendiée et sa population massacrée lors de la Croisade des Albigeois, en 1209. La construction du Canal du Midi, inauguré en 1681, a marqué l’essor économique de la ville qui a connu alors une période de grande prospérité particulièrement faste jusque dans les années 1960 grâce essentiellement à la viticulture.

Des études archéologiques ont démontré que la doyenne des villes françaises était en réalité … Béziers, dans l’Hérault. Les fouilles archéologiques menées en 1985 sur la Place de la Madeleine et plus récemment en 2002 aux abords du Théâtre et de la Rue de la République mènent à des conclusions effarantes.

La région de Béziers, plus précisément le site de l’Orb, était déjà occupé à l’Âge de Bronze. Les Celtibères par la suite ont prospéré dans la région rattachant le site à l’ensemble Ibérique. Néanmoins, hormis quelques habitations aucune trace d’une ville organisée. On peut cependant en conclure que le site de Béziers était déjà connu des grecs et d’autres peuples de la Méditerranée pour le commerce.

Sous la ville actuelle, un véritable trésor archéologique, d’immenses rues bordées de villas grecques et des céramiques ioniennes. L’origine grecque de Béziers ne fait alors plus aucun doute et sa fondation est datée avant celle de sa voisine phocéenne.

Au fil des siècles, Béziers a fièrement bâti sa notoriété sur des épisodes aussi tragiques que glorieux et autour de personnalités biterroises prestigieuses (le vicomte Raymond Trencavel, l’ingénieur Pierre-Paul Riquet, le mécène Gustave Fayet, le talentueux sculpteur Jean-Antonin Injalbert ou encore l’illustre Jean Moulin), comme de l’image emblématique de son imposante cathédrale Saint-Nazaire fortifiée et juchée sur un promontoire surplombant l’Orb.   

Béziers, sous-préfecture de l’Hérault, « capitale du vin », a aussi été, dans une certaine mesure, une ville ouvrière à la faveur d’une activité métallurgique et ferroviaire. Cette identité renvoyant au « Midi rouge » était mise en avant par les forces politiques de gauche. Elle est illustrée, tout au long du xxe siècle, par une forte capacité de mobilisation sociale. Les manifestations et les troubles relatifs à la défense de la viticulture de 1907 en sont une illustration. Cet esprit de mobilisation est amplifié par les luttes ouvrières de 1936, 1938 et 1947, relayées de 1955 à 1964 par le combat mené contre la fermeture des usines Fouga.

Dans les années 1970, les revendications des viticulteurs, celles des employés des services publics et des mouvements occitanistes de gauche formèrent un nouveau front de contestation, dans un contexte de déclin économique et démographique. La crise de la viticulture de masse a fragilisé son statut de place de négoce. La disparition de ses activités industrielles a mis à mal son rang de centre administratif, au moment où une capitale régionale prenait corps à Montpellier. Le rayonnement culturel de Béziers, en phase avec une certaine aristocratie viticole et sa bourgeoisie urbaine, a diminué avec cette lente récession.

Fin 20e siècle, la diminution de la population est réelle : Béziers compte 69 359 habitants selon le recensement de 1999, contre 83 994 en 1975. Elle accueille depuis plus de vingt ans un nombre élevé de retraités ou de préretraités. Ce vieillissement participe du sentiment de déclin qui prédomine dans les représentations sociales et transforme également le corps électoral …

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Le projet de la nouvelle gare de Béziers prévue en 2025 se veut le reflet des nouveaux besoins des usagers avec des aménagements importants qui impacteront certains quartiers.

© Ville de Béziers

Pour les usagers, il s’agit d’une gare. Les acteurs de la mobilité parlent de Pôle d’échanges multimodal. Comprendre : un lieu où cohabitent différents modes de transports (train, bus, vélo…) La future gare de Béziers va concentrer une gare SNCF, une gare routière avec 19 quais de bus, un parking de 320 places, dont 7 pour personnes à mobilité réduite, 80 places de vélos, et 25 places pour deux-roues motorisés. Tout cela sur une surface de 51 000 mètres carrés parsemée de 200 arbres et de nombreux espaces verts.

(Article : https://www.herault-tribune.com – rédaction (MW) – 28.4.2022)

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Les marchés à Béziers

Vendredi

Allées Paul Riquet : 7.00h – 13.00h : Marché fruits et légumes 

Allées Paul Riquet : 7.00h – 18.00h : Marché fleurs, plançons

Place du 14 juillet : 7.00h – 13.00h Marché alimentaire

Rue Stavropol (Stade Raoul Barièrre) : 7.00h – 13.00h Marché non-alimentaire et divers

Samedi

Place de la Madeleine : 7.00h – 13.00h Marché paysan bio (Produits locaux issus de l’agriculture bio – fruits, légumes, fromages, …)

Place du 11 novembre : 7.00h – 13.00h Marché alimentaire

La Devèze : 7.00h – 13.00h Marché non-alimentaire et divers

Allées Paul Riquet : 7.00h – 13.00h Marché fruits et légumes

Allées Paul Riquet : 8.00h – 17.00h : Brocante

Dimanche

Allées Paul Riquet : 7.00h – 13.00h Marché fruits et légumes

Mardi

Place Emile Zola : 7.00h – 13.00h : Alimentaire – Produits frais locaux

La Devèze : 7.00h – 13.00h Marché non-alimentaire et divers

Allées Paul Riquet : 7.00h – 13.00h Marché fruits et légumes

Allées Paul Riquet : 8.00h – 17.00h : Brocante

Mercredi

Iranget : 7.00h – 13.00h Marché alimentaire et divers

Place Jean Jaurès : 17.00h – 21.00h Marché paysan

Place du 11 novembre : 7.00h – 13.00h Marché alimentaire

Jeudi

La Devèze : 7.00h – 13.00h Marché non-alimentaire et divers

Allées Paul Riquet : 7.00h – 13.00h Marché fruits et légumes

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Béziers, 2700 ans d’histoire à partir de l’installation d’une population exogène au début du 6e siècle av. J.C. sur une acropole très anciennement fréquentée. À la découverte du Béziers passé et présent, et de ses habitants, chasseurs et éleveurs préhistoriques, Romains et Wisigoths, cathares et inquisiteurs, marchands et artisans, caritadiers des fêtes de l’Ascension et grands bourgeois du vin, figues légendaires ou célébrités nationales, tels saint Aphrodise, Paul Riquet ou Jean Moulin… revivent ainsi entre places et carrefours. se dessine l’histoire populaire et documentée d’une ville qui, depuis l’Antiquité, n’a jamais cessé de renaître. 

La situation géographique privilégiée de Béziers a conduit l’homme préhistorique à s’y établir. L’ancien oppidum se situait à l’emplacement exact de la plus vieille ville en France. La “Colonia Julia Baettera Septimanorum” (colonie de droit romain où s’installent des colons romains, vétérans de la Septième légion de Jules César), construit au sud de la ville romaine de  Baeterrae en Gaule narbonnaise (aujourd’hui Béziers), près du théâtre antique sur la colline Saint-Jacques, fut fondée en 35 avant J.C. sur les bords de la “Voie Domitienne”, et était déjà connue comme un vignoble réputé.

Vers la fin du 3e siècle, Béziers devient le siège d’un évêche qui ne sera supprimé qu’en 1790. Elle fut détruite par les Vandales au 5e siècle, par les Sarrazins, puis Charles Martel au 8e siècle, et ravagée par Simon de Montfort en 1209 lors de la Croisade contre les Cathares. Réfugies dans l’église de la Madeleine, 7000 habitants furent massacrés le 22 juillet 1209 (Le sac de Béziers). Arnaud Amaury, le légat du Pape avait ordonné aux Croisés: “Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens”. En 1229, le traité de Paris mit fin à la guerre amenant la réunion de Béziers et du Languedoc à la couronne. En 1347 Béziers fut sévèrement touchée par la peste noire. La cité biterroise traversa ensuite la période des guerres de religion en évitant les sanglants massacres qui eurent lieu alentour.

Sous le règne de Louis XIV, la ville s’enrichit. La bourgeoisie locale vit du revenu de ses domaines où sont produits le blé, le vin et l’huile. Sur les bords du ruisseau de Bagnols, on trouve moulins, distilleries et tanneries. Le marché hebdomadaire, reconnu par décret royal en 1552, est un lieu d’échanges sur la route qui relie la vallée du Rhône et l’Espagne. Béziers est la patrie du marquis Paul de Riquet, constructeur du canal du midi. La construction durera de 1666 à 1680. La cité traditionaliste et catholique, où prospère une bourgeoisie cultivée, est peu sensible aux idées révolutionnaires. Néanmoins, son évêché, fondé au IVe siècle, est supprimé en 1801.

La démolition des remparts au début du 19e siècle avait déjà marqué l’ouverture d’une cité fermée et repliée sur elle-même. Le nivellement de la place de la Citadelle, puis l’aménagement des Allées avaient donné une première grande extension à la ville historique. En même temps, la ville s’étend pour loger une population nouvelle. Le monde ouvrier se loge dans les vieux quartiers ou à la périphérie. Comme les inondations rendent difficile l’occupation de la plaine de l’Orb, de nouveaux quartiers apparaissent autour des infrastructures ferroviaires : gare du Midi et gare du Nord, de points structurants tels la caserne de cavalerie et les abattoirs et fait nouveau au delà des allées, le long de l’avenue de Bessan (avenue Saint-Saëns) et de la route de Montpellier (avenue Georges Clémenceau). Ainsi s’esquisse l’axe des Allées regroupant à l’Ouest le centre ancien et à l’Est la construction de quartiers récents appelés à des extensions alvéolaires. 

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Sources

http://www.decouvertes-herault.be

 www.lirelif.fr 

http://edouard.bertouy.pagesperso-orange.fr/ 

http://www.sunnyfrance.net/histoiredebeziers/historique.html 

http://www.facebook.com/ville.debeziers 

http://www.culture.gouv.fr 

Béziers photos d’un siècle à l’autre – Facebook

https://lemouvement.info – Sandro Basili 5.2.2020 

https://www.midilibre.fr – Emmanuelle Boillot 12.4.2018 / Caroline Gaillard 11.11.2023 / 2.1.2025 Michael Esdourrubailh / 3.1.2025

https://www.midilibre.fr – 3.1.2016 (Rue de la Perle) 

https://www.dis-leur.fr -Samuel Touron